Les principes déontologiques qui encadrent ma pratique.
Les principes déontologiques auxquels je souscris sont pour partie inspirés de ceux qui s’appliquent à la profession d’avocat que j’exerçais auparavant. Je les ai renforcés de ceux m’apparaissant fondamentaux et nécessaires dans l’exercice de ma nouvelle activité d'accompagnement en tant que Conseil-guide.
Chaque être humain a de la valeur, indépendamment de ses particularités, quelles qu’elles soient.
Chaque individu est libre de décider de son propre avenir, en considération des lois applicables et a la capacité d’apprendre de son expérience.
Comme chaque être évolue dans un monde d’interdépendance, tous sont mutuellement impliqués dans les conséquences que leurs actes, émotions, paroles et intentions produisent dans l’environnement.
Le Conseil s’engage, avant toute intervention, à s’assurer du libre consentement du client qui le consulte.
Il s’engage à ne pas utiliser sa position à des fins personnelles, de prosélytisme ou de dépendance d’autrui.
Le Conseil prend pleinement en considération le point de vue de chaque individu et cherche à le comprendre.
Le Conseil, attentif à ses propres points de vue, difficultés et préférences se déportera de tout client ou de toute situation qui dépasserait ses compétences ou son objectivité.
Toute personne ayant par nature de la valeur, le Conseil s’engage à travailler de manière à ce que croisse, chez les clients, leur liberté absolue de conscience, leur responsabilité et leur autonomie.
Conscient de la singularité et de la valeur de chacun, le Conseil offrira à chacun un accompagnement singulier et adapté à sa problématique.
Il leur proposera un environnement de travail sécurisé impliquant le respect absolu de la confidentialité.
Conscient de ses propres valeurs, processus et référentiels, le Conseil refusera d’intervenir dans toute situation qui le mettrait en conflit avec ceux-ci.
Prenant en considération l’impact de sa position de Conseil, il régularisera avec ses clients des contrats clairs encadrant les buts et modalités de l’accompagnement, ayant toujours pour finalité l’autonomie du client.
Le Conseil s’engage à apprécier la problématique qui lui est présenté de manière globale, de manière à permettre au client d’avoir une vision d’ensemble de la situation qu’il expose.
Le Conseil s’engage à mettre en œuvre tous les moyens lui permettant d’éclairer et de conseiller son client jusqu’au seuil du choix décisif dont ce dernier reste le seul maître.
Dans toutes les circonstances où le Conseil estime ne pas pouvoir respecter les principes ci-dessus énoncés, il fera jouer la clause de conscience lui permettant de refuser l’accompagnement sollicité.